1. Quel est le matériel minimum requis pour du traitement d'image ?-
    1. La configuration minimale des matériels pour le traitement d'images est difficile à définir : la faisabilité des traitements va en effet dépendre de la taille des images traitées. En outre, le bon fonctionnement des ordinateurs dépend également des systèmes d'exploitation utilisés : il faut ainsi prévoir au minimum un Windows XP ou plus récent, une distribution Linux récente ou un Mac OS X. La rapidité d'exécution dépendra des données utilisées et des traitements appliqués.

      Un ordinateur "récent " avec 2 à 4GB de mémoire, une carte graphique correcte et un écran suffisamment grand sont a priori suffisants pour permettre le traitement de quelques images.

      Configuration minimum requise avec un logiciel libre du type QGIS :

      • Intel Pentium 4 ou compatible / Intel Dual Core ou compatible
      • NVDIA ou carte graphique ATI OpenGL
      • 4 GB RAM
      • Processeur : 2 GhZ
      • Stockage disque dur : 500 GB
      • Ecran : affichage 1280 x 1024
         

      Configuration recommandée avec des logiciel propriétaires (type eCognition, Erdas, Spring, Arcgis...) : 

      • Intel Dual Core ou compatible
      • NVDIA ou carte graphique ATI OpenGL
      • 4 à 8 GB RAM
      • Processeur : 3 GhZ
      • Stockage disque dur : 1 To
      • Ecran : affichage 1600 x 1200
  2. Comment afficher des images sous le logiciel pour Système d'Information Géographique "MapInfo" ?-
  3. Affichage des images sous MapInfo
  4. Comment améliorer l'affichage des images avec QGIS lorsque les images sont sombres et manquent de contraste ?-
  5. Amélioration des contrastes de l'image sous QGIS
  6. Prétraitements des images RapidEye 2011 pour la diffusion sur le portail GEOSUD-
  7. Prétraitements des images RapidEye pour la diffusion sur le portail GEOSUD

    À ce jour, GEOSUD propose deux couvertures nationales RapidEye, l'une acquise durant l'été 2010, l'autre acquise durant l'hiver et l'été 2011. Ces images satellitaires subissent des prétraitements pour deux raisons : d'une part assurer une précision planimétrique en conformité avec le Référentiel Grande Échelle (RGE) de l'IGN, d'autre part faciliter le transfert et la prise en main de ces données par les utilisateurs.

     

     

    Les prétraitements sont séquentiels. Ils se déclinent comme suit :

    • Étape 1 : Acquisition des images « brutes » auprès du distributeur RapidEye. Ces données sont fournies par bande spectrale, soit cinq fichiers (bleu, vert, rouge, rededge et proche infrarouge) au format NITF pour une image.
       
    • Étape 2 : Orthorectification des images. IGN Espace corrige la géométrie des images dans un chantier de spatio-triangulation. Les ortho-images sont transmises à Irstea (UMR Tetis) au format GeoTIFF. À ce stade, une image est toujours constituée de cinq fichiers. Ces derniers ont des emprises au sol variables. La plupart sont volumineux, dépassant les 4 Go (soit plus de 20 Go pour une image).
       
    • Étape 3 : Tuilage des images (1). Irstea découpe les fichiers suivant un maillage carré de pas égal à 20 km. Les tuiles comportant uniquement des pixels nuls sont supprimées.
       
    • Étape 4 : Tuilage des images (2). Les cinq fichiers de l'image sont découpés en un certain nombre de tuiles mono-spectrales. Ces dernières ont une taille de 4000x4000 pixels.
       
    • Étape 5 : Création de tuiles multi-spectrales. Les tuiles mono-spectrales correspondant à une même maille de 20x20 km sont empilées (layer stack) dans un fichier unique (format GeoTIFF). Ce fichier image comporte donc cinq bandes spectrales, son volume est constant, environ 152 Mo. Le nom du fichier indique les coordonnées XY (en Km) du coin situé en haut à gauche de la tuile, le système de projection, la date d'acquisition et les références de l'image. Soit par exemple :
       

    « DALLE_760-6280_LA93_2011-03-23T113008_RE3_1B-NAC_7179751_118166 »

    • Étape 6 : Compression et mise à disposition. Les tuiles multispectrales sont rassemblées et compressées dans des fichiers zip. Ces derniers correspondent soit à des départements (couverture RapidEye 2010) soit à des ensembles de 4 tuiles contiguës (couverture RapidEye 2011). 
       
    • Parallèlement à ces prétraitements, la métadonnée des images au format XML est simplifiée (suppression de certaines balises) et mise à jour.
  8. Comment lire les flux RSS du portail Equipex GEOSUD, sigle venant de l'anglais "Really Simple Syndication" ?-
  9. Un produit RSS est une ressource du World Wide Web dont le contenu est produit automatiquement (sauf cas exceptionnels) en fonction des mises à jour d'un site Web. Les flux RSS sont des fichiers XML qui sont souvent utilisés par les sites d'actualité et les blogs pour présenter les titres des dernières informations consultables.

    Le portail Equipex GEOSUD vous permet de suivre le fil des actualités qui sont publiées. Pour cela, vous devez installer un logiciel permettant la lecteur de flux RSS. 

    Un fois installé, demarrer l'application, puis Nouveau, copier/coller l'adresse du flux RSS du portail Equipex GEOSUD (copier l'adresse du lien Suivez-nous "http://www.equipex-geosud.fr/c/blogs_aggregator/rss?p_l_id=10608"), finir en suivant les instructions et votre lecteur de flux RSS est paramétré, vous pouvez suivre notre fil d'actualité.

    Bonne lecture.